PROJETS
CHANTIER PARTICIPATIF TERRE - PAILLE
01.



Dans le village d’Antras, Céline et Flo nous ont accueillis durant l’été 2024 pour participer à la construction de leur future maison. Après avoir voyagé durant une année en Amérique latine et découvert plusieurs techniques de construction, ils ont souhaité à leur tour partager leurs connaissances à travers cette construction en terre et paille.

FAIRE ENSEMBLE
BÂTIR DU LIEN
APPRENDRE

Ce chantier a été l’opportunité de découvrir la technique du mur banché en terre et paille compressées après avoir conçu les ossatures bois. À l’intérieur du bâti, lorsque la terre appliquée sur les bottes de paille qui constituent les murs périphériques est en cours de séchage, des craquelures apparaissent. Une fois les murs secs, il s’agit ensuite de retirer la terre en surépaisseur à l’aide d’une brosse métallique.

Afin de reboucher les fissures, il est d’abord nécessaire d’appliquer de la barbotine (mélange terre/eau) pour que la matière qui sera ensuite appliquée puisse adhérer. Ensuite, un mélange de terre, paille et sable, qui est l’enduit de corps, est mis en œuvre. La dernière couche sera un enduit chaux intérieur afin de mettre en exergue les propriétés naturelles des matériaux durables et locaux qui constituent les murs périphériques.
FAIRE ENSEMBLE - BÂTIR DU LIEN - APPRENDRE




02.
SHAKTI NEPAL
L’assocation Shakti Népal a été fondée en 2002
à l’issue de la rencontre entre Chhongba Sherpa
et Dominique Deparis. Tout au long de l’année
des équipes de bénévoles se rendent au Népal
pour réaliser des missions d’aide au développement
de l’éducation et de la santé et de
la préservation de l’environnement.

Au sein de cette association
le projet de serre en bambou et
en bouteilles de plastique recyclé
a été mis en œuvre pour promouvoir
le maraichage. Ce projet de construction
expérimentale a été implanté dans
le village de Bhaisépati dans la région
de Kathmandu et construit avec les élèves
de l’école du village. Ce projet a été initié
en 2020 afin de trouver des solutions
constructives parasismiques.
01.
CHANTIER PARTICIPATIF TERRE - PAILLE


Dans le village d’Antras, Céline et Flo nous ont accueillis durant l’été 2024 pour participer à la construction de leur future maison. Après avoir voyagé durant une année en Amérique latine et découvert plusieurs techniques de construction, ils ont souhaité à leur tour partager leurs connaissances à travers cette construction en terre et paille.




Ce chantier a été l’opportunité de découvrir la technique du mur banché en terre et paille compressées après avoir conçu les ossatures bois. À l’intérieur du bâti, lorsque la terre appliquée sur les bottes de paille qui constituent les murs périphériques est en cours de séchage, des craquelures apparaissent. Une fois les murs secs, il s’agit ensuite de retirer la terre en surépaisseur à l’aide d’une brosse métallique.


Afin de reboucher les fissures, il est d’abord nécessaire d’appliquer de la barbotine (mélange terre/eau) pour que la matière qui sera ensuite appliquée puisse adhérer. Ensuite, un mélange de terre, paille et sable, qui est l’enduit de corps, est mis en œuvre. La dernière couche sera un enduit chaux intérieur afin de mettre en exergue les propriétés naturelles des matériaux durables et locaux qui constituent les murs périphériques.
FAIRE ENSEMBLE - BÂTIR DU LIEN - APPRENDRE




02.
SHAKTI NEPAL
L’assocation Shakti Népal a été fondée en 2002
à l’issue de la rencontre entre Chhongba Sherpa
et Dominique Deparis. Tout au long de l’année
des équipes de bénévoles se rendent au Népal
pour réaliser des missions d’aide au développement
de l’éducation et de la santé et de
la préservation de l’environnement.

La structure primaire de l’ouvrage
est une relecture de l’architecture traditionnelle
pour la construction d’une structure contemporaine.
La structure primaire conçue en bambous secs
et verts supporte la structure secondaire
qui comporte des tirants métalliques, des bambous
de faible section et les bouteilles plastiques.
Depuis la collecte des bouteilles et
du matériel nécessaire jusqu’à la fin de la construction ce projet a nécessité une forte collaboration entre les communautés locales et les membres bénévoles de l’association.
Au sein de cette association
le projet de serre en bambou et
en bouteilles de plastique recyclé
a été mis en œuvre pour promouvoir
le maraichage. Ce projet de construction expérimentale
a été implanté dans le village de Bhaisépati
dans la région de Kathmandu et construit avec les élèves de l’école du village. Ce projet a été initié en 2020 afin de
trouver des solutions constructives parasismiques.
La structure primaire de l’ouvrage
est une relecture de l’architecture traditionnelle
pour la construction d’une structure contemporaine.
La structure primaire conçue en bambous secs
et verts supporte la structure secondaire
qui comporte des tirants métalliques, des bambous
de faible section et les bouteilles plastiques.
Depuis la collecte des bouteilles et
du matériel nécessaire jusqu’à la fin de la construction ce projet a nécessité une forte collaboration entre les communautés locales et les membres bénévoles de l’association.



A l’issu de cette construction des notices descriptives, qui présentent les étapes successives pour la mise en œuvre de cet ouvrage,
ont été distribuées au sein du village.





A l’issu de cette construction des notices
descriptives, qui présentent les étapes successives
pour la mise en œuvre de cet ouvrage,
ont été distribuées au sein du village.
MANO A MANO
03.
MANO A MANO
03.

Un aménagement urbain dans le bidonville de la Ensenada
réalisé par l’association Mano a Mano perú.
L’association est née sur l’initiative d’une Ornaise, qui travaillait comme infirmière dans la communauté
de La Merced, et de deux Péruviennes, promotrices de santé
et habitantes de la Merced, quartier de la Ensenada en 1994.

Un aménagement urbain dans le bidonville de la Ensenada
réalisé par l’association Mano a Mano perú.
L’association est née sur l’initiative d’une Ornaise, qui travaillait comme infirmière dans la communauté
de La Merced, et de deux Péruviennes, promotrices de santé
et habitantes de la Merced, quartier de la Ensenada en 1994.

Mano a Mano travaille depuis 30 ans
dans le cône nord de Lima avec la population de
la Ensenada qui se trouve dans une situation précaire.
Depuis 2007, Mano a Mano travaille d’avantage dans
la communauté de Los Jazmines, une communauté
de 93 familles qui s’est formée il y a 22 ans dans
les hauteurs de la Ensenada.
La zone d’influence des activités s’étend
aux communautés voisines
(Maria Jesus, Vista Hermosa, Puente Piedrina,
Virgen del Carmen…) qui comprend 5000 habitants.
L’association Mano a Mano quand à elle
tient un restaurant, fait de la vente directe de pâtisseries,
propose l’aide aux devoirs pour les enfants de la Ensenada
et réalise des ventes de textiles traditionnels sur les marchés français.
Ces activités permettent de rémunérer les femmes
travaillant au restaurant et les femmes constructrices.
Au sein de l’association chaque femme doit effectuer
des rotations pour être le plus polyvalent possible et s’avoir s’adapter en toutes circonstances


Mano a Mano travaille depuis 30 ans
dans le cône nord de Lima avec la population de
la Ensenada qui se trouve dans une situation précaire.
Depuis 2007, Mano a Mano travaille d’avantage dans
la communauté de Los Jazmines, une communauté de 93 familles
qui s’est formée il y a 22 ans dans les hauteurs de la Ensenada.
La zone d’influence des activités s’étend aux communautés voisines
(Maria Jesus, Vista Hermosa, Puente Piedrina, Virgen del Carmen…)
qui comprend 5000 habitants.
L’association Mano a Mano quand à elle
tient un restaurant, fait de la vente directe de pâtisseries,
propose l’aide aux devoirs pour les enfants de la Ensenada
et réalise des ventes de textiles traditionnels sur les marchés français.
Ces activités permettent de rémunérer les femmes
travaillant au restaurant et les femmes constructrices.
Au sein de l’association chaque femme doit effectuer
des rotations pour être le plus polyvalent possible et s’avoir s’adapter en toutes circonstances



L’objectif de la création de parcs urbains
est de former des femmes de la communauté
pour qu’elles soient en mesure d’acquérir des
compétences, d’obtenir de nouvelles opportunités
d’emploi et de construire des infrastructures
communautaires.

Ces parcs ont aussi pour but
d’améliorer l’esthétique et l’environnement
de la communauté pour lutter contre la violence.
En 2006, il n’y avait pas un seul arbre dans
la communauté de Los jazmines. Cette même année
la construction des premiers parcs a été lancée,
ce qui a permis de planter quelques arbres.
Cependant, ils ne représentaient que 15% des espaces verts prévus d’être mis me place
par la communauté. A la fin de l’année 2006,
les villageois et Mano a Mano ont élaboré un plan
de construction d’un parc de loisirs pour
les enfants autour de la bibliothèque.
L’aménagement des espaces publics est conçu
pour être écologiquement stable et durable (autonome), économiquement viable (productif) et socialement équitable. Le projet de terrasses
pour planter le désert s’inscrit dans la lignée du
travail de sensibilisation (parcs, composteurs,...) effectué
auprès de la population de ces quartiers par l’association Mano a Mano. Ce projet intègre
à la fois des places publiques, les cheminements
et des terrasses cultivables.
L’objectif de la création de parcs urbains
est de former des femmes de la communauté
pour qu’elles soient en mesure d’acquérir des
compétences, d’obtenir de nouvelles opportunités
d’emploi et de construire des infrastructures
communautaires.
L’aménagement des espaces publics est conçu
pour être écologiquement stable et durable (autonome), économiquement viable (productif) et socialement équitable. Le projet de terrasses
pour planter le désert s’inscrit dans la lignée du
travail de sensibilisation (parcs, composteurs,...) effectué
auprès de la population de ces quartiers par l’association Mano a Mano. Ce projet intègre
à la fois des places publiques, les cheminements
et des terrasses cultivables.
Ces parcs ont aussi pour but
d’améliorer l’esthétique et l’environnement
de la communauté pour lutter contre la violence.
En 2006, il n’y avait pas un seul arbre dans la communauté de Los jazmines. Cette même année
la construction des premiers parcs a été lancée,
ce qui a permis de planter quelques arbres.
Cependant, ils ne représentaient que 15% des espaces verts prévus d’être mis me place par la communauté. A la fin de l’année 2006,
les villageois et Mano a Mano ont élaboré un plan
de construction d’un parc de loisirs pour les enfants autour de la bibliothèque.



L’aménagement des espaces publics est conçu
pour être écologiquement stable et durable (autonome), économiquement viable (productif) et socialement équitable. Le projet de terrasses
pour planter le désert s’inscrit dans la lignée du
travail de sensibilisation (parcs, composteurs,...)
effectué auprès de la population de ces quartiers
par l’association Mano a Mano. Ce projet intègre
à la fois des places publiques, les cheminements
et des terrasses cultivables.